AMARIS investit, depuis 2022, la thématique des pollutions industrielles avec 
un objectif : être en capacité de vous accompagner dans la gestion de toutes les conséquences liées à la présence d’installations classées pour la protection de l’environnement (ICPE industrielles)  sur vos territoires.
Après une phase exploratoire au cours de laquelle nous avons pris connaissance 
des difficultés que vous rencontrez, nous nous sommes engagés dans un travail 
en réseau qui a abouti à l’intégration de ce sujet dans nos missions et statuts.
En 2024, tout en maintenant nos activités sur nos sujets habituels, comme vous le verrez dans ce rapport d’activité, nous sommes rentrés dans une phase plus active sur la thématique des pollutions. Nous avons initié des échanges avec les autres parties prenantes. Nous avons également défendu l’idée que les risques chroniques devaient être abordés lors des Rendez-vous Majeurs, l’évènement dédié aux risques industriels que nous pilotons avec le ministère de la Transition écologique et la direction générale de la prévention des risques.
Nous avons officialisé l’évolution de notre association au cours de cette rencontre nationale. Cela peut paraître symbolique mais nous souhaitions confirmer qu’AMARIS est légitime, sur ce sujet très sensible et complexe, en tant que représentant de collectivités qui recherchent des pistes d’amélioration à proposer aux populations ou pour assumer leurs responsabilités.
Lors des Rendez-vous Majeurs, AMARIS a permis une confrontation sereine de points de vue pourtant divergents. Nous avons également amené les parties prenantes à proposer des pistes pour l’avenir. Nous avons démontré que les risques accidentels et chroniques requièrent les mêmes conditions, à savoir du dialogue et du travail collectif. Car tout se joue, en effet, dans la rencontre des acteurs concernés : cela nous le savons et nous défendons cette idée depuis la création de l’association.
ALBAN BRUNEAU, président d’AMARIS
 
			 
		 
		
 
		 Notre histoire a commencé en 1990. Depuis plus de trente ans, nous intervenons sur la thématique des risques accidentels. Notre cheval de bataille ? La reconnaissance des collectivités dans les politiques publiques de prévention. Notre souci constant ? Que les habitants puissent vivre en sécurité et qu’en cas d’accident, les dispositifs soient prêts.
Notre histoire a commencé en 1990. Depuis plus de trente ans, nous intervenons sur la thématique des risques accidentels. Notre cheval de bataille ? La reconnaissance des collectivités dans les politiques publiques de prévention. Notre souci constant ? Que les habitants puissent vivre en sécurité et qu’en cas d’accident, les dispositifs soient prêts. 
		 
		 
		 Nous sommes dans le pire moment d’une politique publique. 20 ans après le vote de la loi instaurant les plans de prévention des risques technologiques (PPRT), nous constatons que cet outil a produit des effets limités. Or, l’État n’entend plus y consacrer de moyens et considère que les collectivités doivent désormais prendre le relais. Celles-ci n’ont ni les moyens, ni l’ingénierie, ni la légitimité suffisante pour endosser cette charge. D’autant que la mobilisation des acteurs devient complexe. Pour les industriels, ce qui pouvait être fait l’a été. Et pour les riverains initialement mobilisés, ils se sont peu à peu lassés et ne se font désormais plus d’illusions.
Nous sommes dans le pire moment d’une politique publique. 20 ans après le vote de la loi instaurant les plans de prévention des risques technologiques (PPRT), nous constatons que cet outil a produit des effets limités. Or, l’État n’entend plus y consacrer de moyens et considère que les collectivités doivent désormais prendre le relais. Celles-ci n’ont ni les moyens, ni l’ingénierie, ni la légitimité suffisante pour endosser cette charge. D’autant que la mobilisation des acteurs devient complexe. Pour les industriels, ce qui pouvait être fait l’a été. Et pour les riverains initialement mobilisés, ils se sont peu à peu lassés et ne se font désormais plus d’illusions. 
		 
		 PPRT : un long fleuve intranquille ?
PPRT : un long fleuve intranquille ? 
		 La Communauté d’agglomération du Centre Martinique (CACEM) a pris la feuille de route d’AMARIS… à la lettre. En effet, l’objectif de l’association est de mieux intégrer les spécificités des territoires dans ses projets. Et à ce titre, la CACEM a proposé de se confronter à la mise en œuvre du PPRT du Lamentin.
La Communauté d’agglomération du Centre Martinique (CACEM) a pris la feuille de route d’AMARIS… à la lettre. En effet, l’objectif de l’association est de mieux intégrer les spécificités des territoires dans ses projets. Et à ce titre, la CACEM a proposé de se confronter à la mise en œuvre du PPRT du Lamentin. 1. Écouter
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2. Nous rejoindre sur les prochains événements 3. Relire des articles qui sont toujours d’actualité…
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