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28/04/14

Avril 2014

1

CONCOURS ACT'RISK STUDIO, 04.2014

Les vidéos réalisées par les classes des établissements scolaires.

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2

ACTUENVIRONNEMENT, 24.04, SOPHIE FABREGAT

Le cabinet de la ministre de l'Ecologie s'étoffe.

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3

ACTUENVIRONNEMENT, 18.04, PIERRE EMMANUEL BOUCHEZ

Pas de repreneur pour la raffinerie de Berre-l'Etang

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4

OUEST FRANCE, 16.04

PPRT : opposition devant le tribunal administratif

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5

COURRIER PICARD, 11.04, VINCENT FOUQUET

ESTRÉES-DENIÉCOURT (80) : une importante fuite d’acide chlorhydrique en plein cœur du village

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6

MARITIMA.INFO, 09.04, R. CHAPE

Sites SEVESO. Une audience demandée à Ségolène Royal

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7

MEDDE, 08.04, MARDIS DE LA DGPR

Autorisation unique ICPE, expérimentation

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8

MEDDE, 09.04

Projets soumis à la législation sur les installations classées pour la protection de l’environnement

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9

LE MONDE, 03.04

Lubrizol condamnée pour la forte odeur de gaz de Rouen à Paris

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10

LE PARISIEN, 27.03, MARINE LEGRAND

Bataille gagnée contre le projet d'entrepôt dangereux

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25/04/14

Sites et sols pollués : interview de Vincent Sol

L’article 173 de la loi ALUR modifie le code de l’environnement en matière de sites et sols pollués. Comment cette question était-elle traitée auparavant ?
En France, la pollution des sols par les activités industrielles fait l’objet d’une prise de conscience récente et largement postérieure au début de la désindustrialisation. La politique française en matière de sites et sols pollués n’avance donc que depuis une vingtaine d’années, et ce, principalement sur le plan technique. Il n’y a eu pas de loi structurante ; ce sont les juges qui créent le droit. Pour traiter la première grande affaire en la matière, à savoir la pollution liée à la présence de la décharge de Montchanin, la base juridique utilisée a été la loi ICPE et le principe du pollueur-payeur (le dernier exploitant prend en charge la dépollution). Depuis 15 ans, la jurisprudence est hésitante et ne compense pas l’absence d’un dispositif législatif et réglementaire spécifique.
Le sujet central est la recherche du responsable pour savoir qui paie ?
Oui. Pour déterminer la responsabilité, deux lois sont utilisées : la loi ICPE et la loi déchets. Elles mettent en cause ou non le propriétaire au gré des jurisprudences. Résultat : les conflits entre vendeurs et acquéreurs ne cessent d’augmenter. En 2 ans, le nombre de contentieux civils a été multiplié par trois.
En quoi la reconversion des friches industrielles est-elle un enjeu ?
Environ 300 000 sites sont potentiellement pollués. Ces friches représentent, quand elles sont situées en milieu urbain, une réserve de foncier stratégique. Leur reconquête ouvrira des opportunités en matière de création de logements, de renouvellement urbain et de requalification des espaces publics. Il devient donc indispensable de créer des outils urbanistiques adaptés, d’anticiper le risque de pollution et de l’intégrer dans les projets, tout particulièrement lors de la négociation financière des terrains. Il faut poser un cadre pour solder le passé (l’héritage de la désindustrialisation) et traiter les pollutions connues. L’expérience montre que plus la question est traitée en amont, moins cela coûte cher. On peut, en effet, adapter les projets ou les techniques de traitement.
Pouvez-vous nous présenter les grandes lignes de l’article 173?
Ce texte, travaillé par le groupe d’experts du CSPRT, a obtenu un consensus de toutes les parties prenantes, du MEDEF jusqu’à FNE. L’article 173 prévoit :
a. Des dispositions pour améliorer la connaissance et la rendre disponible : l’État va élaborer des secteurs d’information sur les sols (SIS) qui seront intégrés dans les PLU. Lors de la cession d’un terrain, le vendeur informera l’acquéreur s’il est en SIS. Dans le cadre des demandes de permis de construire ou d’aménager, le pétitionnaire fournira une attestation établie par un bureau d’études certifié précisant que le projet a fait l’objet d’une étude de sols et que l’usage prévu est compatible avec le secteur. Ainsi, la loi ALUR crée des obligations pour les vendeurs et pour les acquéreurs. Elle oblige également le vendeur à informer la collectivité, dans les DIA, dans les cas de préemption.
Par ailleurs, l’Etat publiera une carte des anciens sites industriels où les sols sont potentiellement pollués. Cette carte devra être utilisée lors de la délivrance des certificats d’urbanisme. La loi ALUR incite ainsi les collectivités à intégrer la problématique des sites et sols pollués dans leurs politiques d’aménagement et à s’emparer de la question du renouvellement des friches industrielles.

b. Des dispositions autorisant l’intervention d’un tiers, notamment les collectivités, pour mener la réhabilitation du site. Jusqu’à présent, cette obligation incombe au dernier exploitant. La loi ALUR permet de transférer cette obligation à un tiers (un aménageur ou un promoteur immobilier). La prise en charge des coûts de dépollution sera donc à négocier lors de la vente du terrain. Cette disposition est de nature à inciter les exploitants à céder, plus facilement, leurs biens. Aujourd’hui beaucoup préfèrent ne pas vendre car leur responsabilité reste engagée pendant 30 ans.
Enfin, le tiers fournira une garantie financière et technique à l’Etat. En cas de défaillance financière, l’Etat pourra se retourner vers le dernier exploitant, à hauteur de ce que celui-ci aurait dû réaliser pour réhabiliter le site.

c. Une clarification de la responsabilité des acteurs. Il existe désormais 2 rangs de responsabilités : 1. Le dernier exploitant ou le tiers substitué ou le maître d’ouvrage qui a pris la suite ou le producteur de déchets si ce n’est pas une ICPE. 2. Le propriétaire négligent.

Quelle est la prochaine étape ?
Cette loi pose les grandes bases. Les décrets à venir répondront aux questions plus techniques mais très importantes comme celle, par exemple, de définir ce que recouvre la notion de propriétaire négligent notamment pour une collectivité qui veut redévelopper un terrain pollué.

Pour Amaris qui fait partie du groupe de travail « sites et sols pollués », il s’agira de s’impliquer afin que le dispositif mis en place soit cohérent avec les enjeux des collectivités.

En savoir plus : Article 173 de la loi ALUR

 


23/04/14

PPRT de Roussillon : 4 points essentiels

TRAVAUX CHEZ LES RIVERAINS ET FINANCEMENT
Le PPRT de Roussillon est choisi pour participer à l’expérimentation PARI (Programme d’Accompagnement aux Risques Industriels) pilotée par la Direction Générale de la Prévention des Risques.

Rappel – Environ 150 logements à traiter et concernés par : du risque toxique de niveau M+ (moyen+) / des risques toxique M+ et surpression  de niveau Fai (faible) 35 mb / des risques toxique M+ et surpression Fai 50 mb.

Déroulement du PARI – La mise en route de cette expérimentation débute en mai 2013. Dès le 22 octobre, la convention de financement est signée et fixe la répartition du montant des travaux à 25% à la charge des industriels et 30% pour les collectivités (15% pour la Communauté de communes et 15% pour les communes de Péage-de-Roussillon et Salaise-sur-Sanne au prorata du nombre de logements concernés). Avec le crédit d’impôt de 40%, il reste 10% pour atteindre un financement complet. Les collectivités se sont donc tournées donc vers le Conseil général et le Conseil régional qui ont donné un accord de principe à leurs participations. Un avenant à la convention devrait être intégré.
Concrètement, ces fonds seront gérés par la Caisse des Dépôts et Consignation qui reversera les aides directement aux propriétaires. Un système d’avance du crédit d’impôt (Prêt à taux zéro) est toujours en cours de recherche. Aujourd’hui, les acteurs attendent l’approbation du PPRT pour pouvoir entrer dans la phase opérationnelle (a priori en juin 2014).

Particularités – Cette expérimentation a pour particularité de réunir autour de la table un nombre important de financeurs : l’État, quatre industriels, la communauté de communes du pays roussillonnais, les communes de Salaise-sur-Sanne et de Péage-de-Roussillon, le Conseil général de l’Isère et la Région Rhône-Alpes. Mais ce PARI a d’autres spécificités. La plus intéressante est certainement qu’il est coordonné avec le Projet d’Intérêt Général mal logement du département de l’Isère. Les logements concernés sont ainsi signalés à l’ANAH. C’est d’ailleurs la DDT logement, et non la DDT risques, qui est chef de file du dispositif PARI.

LA COMPLEXITÉ DU RÈGLEMENT PPRT
L’autre particularité de ce PPRT, qui inquiète les collectivités en charge de l’instruction des demandes d’urbanisme, réside dans la complexité du règlement. La multiplication des zones et sous-zones (plus d’une centaine), la présence, dans le corps du règlement, de nombreux renvois entre chapitres, de nombreuses exceptions et des tableaux de caractéristiques des zones rend, la prise en main de cet outil, particulièrement complexe. L’utilisation de notions imprécises et de terme inconnus dans le code de l’urbanisme ou dans le code de la construction et de l’habitation sera très certainement le plus difficile à gérer. C’est pourquoi, la commune de Salaise-sur-Sanne demande que le service instructeur du droit des sols soit formé, ou a minima accompagné par les services de l’État.
ACTIVITÉS ÉCONOMIQUES ET ERP
La commune de Salaise-sur-Sanne cumule deux problématiques. D’un côté, il faut mettre en œuvre les travaux chez les riverains qui habitent les anciennes cités ouvrières. Cette dimension fait, comme on l’a vu, l’objet d’un accompagnement de la part de l’État. Aujourd’hui c’est donc un aspect particulièrement bien pris en charge. En revanche, dans le périmètre PPRT, nous trouvons deux zones commerciales, une centaine de bâtiments au total. Dans la zone commerciale du Champ Rolland, les activités sont constituées de petits commerces implantés dans des bâtiments vieillissants. La zone commerciale de Jonchain, elle, rassemble des établissements plus importants et des grandes enseignes nationales.

Lors de l’enquête publique, qui s’est déroulée du 27 janvier au 28 février 2014, ces commerçants se sont mobilisées fortement et ont exprimé leurs incompréhensions : Que va-t-il se passer si mon propriétaire ne réalise pas les travaux dans les 5 ans ? Pourquoi le local de confinement ne prend pas en compte la fréquentation réelle de l’établissement mais la capacité d’accueil ? Si je réaménage la zone commerciale et la zone de stockage, est-ce suffisant ? etc.

Salaise-sur-Sanne réfléchit à la possibilité de mettre en place des mesures organisationnelles communes à la zone commerciale, avec par exemple un local de confinement utilisé par plusieurs commerces. La commune s’est, par ailleurs, engagée dans la démarche RESIRISK en votant une participation de 17 000€ à ce projet. L’objectif est de trouver des solutions innovantes pour maintenir les activités existantes dans les zones commerciales.

INFRASTRUCTURES, PETITES ET GRANDES
La problématique des infrastructures (une route nationale, une piste cyclable, une voie ferroviaire Paris-Lyon-Marseille, le canal du Rhône, etc.) concerne tout le périmètre PPRT. Le règlement prescrit un ensemble de mesures assez classiques : une signalisation adaptée, l’interdiction de stationnement, etc. La situation est plus compliquée sur la zone industrialo-portuaire (ZIP) qui est desservie actuellement par deux voies structurantes traversant les zones les plus dangereuses. Un nouveau schéma de voirie est à mettre en place dans un délai de 5 ans. Les deux nouvelles voies à créer n’avaient pas été initialement intégrées dans le projet et vont donc générer un surcoût conséquent. 

Propos recueillis auprès de Gérard Perrotin, adjoint en charge des risques à Salaise-sur-Sanne et Justine Menguy, Service sécurité civile de Salaise-sur-Sanne


10/04/14

Réseaux sociaux et gestion de crise

Quels usages des médiaux sociaux en gestion de crise ?
Tous les médias sociaux ne peuvent être utilisés de la même façon en gestion des crise. Pour autant, ils peuvent servir lors des 3 phases :

Avant la crise – Se préparer
Pour être efficace au moment de la crise, il est essentiel d’assoir sa légitimité et d’être suivi par une communauté. Pour cela, il est important de diffuser régulièrement, des documents et des messages de prévention, pour que la population suive la collectivité sur cette thématique.
Aujourd’hui, les premières informations que l’on trouve sur un événement sont souvent des photos ou vidéos postées sur Internet. Les médias sociaux sont donc des outils de veille, et permettent d’anticiper ou de réagir plus rapidement lors d’une crise.

Pendant la crise
Les médias sociaux peuvent être utilisés pour diffuser des messages d’alerte et des consignes de sécurité.
Pendant la crise, une avalanche d’informations circule sur les réseaux sociaux : elle peut aider ou ne pas aider les collectivités. Être sur les réseaux sociaux permet d’avoir une certaine visibilité sur ces informations précieuses pour intervenir le plus en amont possible. Cela peut également permettre de détecter et démentir des rumeurs.

Après
Après la crise, on peut voir émerger spontanément sur les réseaux sociaux des communautés solidaires.

@parisinondation
L’inondation est LE risque majeur à Paris. Il s’agit, plus précisément, du risque de crue à cinétique lente : l’eau arrive relativement lentement, ce qui laisse le temps d’évacuer les habitants.

Pourquoi un compte Twitter @parisinondation ?

La création du compte Twitter @parisinondation relève du constat que, pour Paris, la conscience et la connaissance du risque d’inondation est relativement faible. Le compte Twitter vise donc à répondre à 3 objectifs :
– améliorer la résilience de la population par rapport au risque inondation ;
– diffuser rapidement des informations pédagogiques et préventives ;
– montrer l’implication de la ville.
Il est important de souligner que ce compte Twitter vient en complément de nombreux modes de communication, utilisés en « période de crise » et en « période normale » : 173 journaux électroniques d’information, le site Internet Paris.fr, le compte Twitter @paris, l’application smartphone « Paris à la seconde », et les médias traditionnels (TV, presse, radio).
Le compte @parisinnondation doit donner une meilleure visibilité aux messages d’information consacrés à ce risque.

Comment ce compte fonctionne-t-il ?

En temps normal, ce compte est géré par 4 personnes, travaillant au pôle Gestion de crise de la Direction de la Prévention et de la Protection. Il y a également un fort partenariat avec le Zone de Défense et de Sécurité de Paris (Préfecture de Police de Paris), ainsi qu’avec l’ensemble des gestionnaires de réseaux parisiens, la PRIF et la DRIEE.
En période de crise, la configuration sera différente. Une action commune avec la Direction de la Communication sera mise en place afin d’assurer une cohérence dans la diffusion des messages. Les effectifs en place seront fortement renforcés pour assurer la continuité de la diffusion de l’information et des messages.

Quelles sont les perspectives d’avenir ?

L’évolution du compte @parisinondation en @parisrésilience ou @parisrisquesmajeurs est une perspective possible. Il faut d’abord que le compte @parisinondaion se développe et acquiert de la visibilité. Le choix d’un compte dédié au risque inondation, le risque majeur à Paris, permet de tester la réactivité et l’intérêt que portent les parisiens sur cette thématique.

La Communauté d’agglomération du Havre multiplie les outils.
Lors de l’incendie de la centrale thermique du Havre, le 30 janvier 2012, le premier élément faisant référence à cet événement est un statut Facebook posté 17 minutes après le début de l’incendie, et les premières images sont apparues sur Twitter (89 minutes). Cet événement a déclenché une prise de conscience de la Communauté d’Agglomération du Havre (CODAH), sur la nécessité d’utiliser les médias sociaux. Aujourd’hui, la CODAH s’est munie d’une variété d’outils complémentaires pour communiquer sur les risques.

Les outils « classiques » de communication

Lors d’une crise, la communication avec la population se fait très rapidement par le système de sirènes d’alerte. Pour avertir d’un risque imminent ou en cours, la sirène reste le moyen le plus rapide et le plus efficace. Ensuite, la communication est assurée directement par l’attachée de presse du Président de l’agglomération. Elle est en relation directe avec l’ensemble des médias et peut les contacter rapidement, pour transmettre les consignes de sécurité.

@Alertestuaire et AlloIndustries pour améliorer la communication

Aujourd’hui, avec l’ORMES (Office des Risques Majeurs de l’Estuaire de la Seine), la CODAH dispose du compte Twitter @alertestuaire. Ce compte permet de diffuser des consignes soit directement à la population soit aux journalistes locaux qui suivent ce compte. Pour être davantage efficace et rapide dans la diffusion des messages d’alerte, la CODAH s’est dotée d’une carte heuristique des types de messages pouvant être passés sur Twitter. Pour chaque situation correspond alors un ou plusieurs messages.

Ce compte Twitter est également utilisé pour relayer les messages de la plateforme téléphonique AlloIndustries sur les réseaux sociaux. Cette plateforme a été mise en place par les industriels de la zone industrialo-portuaire du Havre, en partenariat avec la Chambre du Commerce et de l’Industrie (CCI).
L’objectif est de communiquer sur les événements perceptibles de l’extérieur des sites industriels. Les industriels adhérents expliquent l’événement sur la plateforme téléphonique, et leurs messages sont alors disponibles à tous les citoyens qui appellent le numéro de la plateforme. Ce dispositif répond ainsi à un souci de transparence entre les industriels et les riverains.

La plateforme Digimind comme veille des médias

Pour suivre les médias classiques et sociaux, la CODAH s’est munie d’une autre plateforme. Le but est de détecter les événements majeurs le plus en amont possible. A ce titre, la Direction des Risques Majeurs et la Direction Générale de la CODAH reçoivent 2 lettres d’informations quotidiennes et des alertes spécifiques en cas d’informations sensibles et/ou urgentes.

VOST, une perspective d’avenir

Virtual Operation Support Team (VOST), ou, en d’autres termes, une équipe de volontaires qui aide les autorités lors des crises pour exploiter les informations disponibles sur les réseaux sociaux. En France, l’association VISOV a été constituée pour agir dans ce sens et aider les autorités. Elle est ainsi intervenue lors des dernières inondations en Bretagne et dans le Var, ou lors de l’accident de train de Brétigny.

Forte de cette expérience, l’ORMES et la CODAH essayent de mettre en place une VOST pour faciliter, à la fois, la remontée d’informations des médias sociaux vers les autorités, et la communication des autorités vers la population.

En savoir plus
Magazine de la communication de crise & sensible, vol. 20 – nov. 2011, CE. ANFRAY
Les réseaux sociaux et la crise
Lire
La Gazette des communes, 16 avril 2012
Réseaux sociaux et collectivités territoriales : quelle stratégie adopter ?
Lire
CNFPT, 26 septembre 2012
Réseaux sociaux et collectivités locales
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Magazine Qualys, 03 septembre 2013, J. SAIZ
Quelle place pour les réseaux sociaux dans la gestion des crises ?
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Préfecture de Police, décembre 2013
Guide des bonnes pratiques des réseaux sociaux
Lire
Les Echos, 31 janvier 2014, R. BOSSU
Internet, réseaux sociaux un outil efficace dans la gestion de crises
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Vademecom, 24 février 2014
Les réseaux sociaux peuvent-ils m’aider à gérer ma communication en situation de crise ?
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Idéose, 05 mars 2014
Baromètre Idéose des collectivités territoriales sur le réseaux sociaux
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