A Dunkerque, une voie de circulation traverse de nombreuses zones d’aléas. La collectivité a sollicité le réseau Amaris pour savoir quels travaux envisager pour protéger les usagers.
Lorsqu’un établissement public foncier (EPF) ayant les compétences appropriées existe sur le territoire concerné, la collectivité peut lui confier la mise en place des mesures foncières (acquisition des terrains, travaux de démolition, portage foncier).
Emmanuel Martinais, chargé de recherches à l’ENTPE, a réalisé une étude* (avec Eva-Marie Goepfert et Gwenola Le Naour) pour caractériser les attentes des populations riveraines des sites à risques.
Résultats : des idées reçues battues en brèche et des propositions décalées au regard des pratiques actuelles de communication.
Le PPRT Esso Fondeyre de Toulouse, élaboré tambour battant en 3 ans, a été annulé par le Tribunal Administratif de Toulouse le 15 novembre 2012. La Ministre de l’écologie et du développement durable, Delphine Batho, a fait appel de cette décision. Le point avec Régine Lange, adjointe au Maire de Toulouse en charge du développement durable.
AMARIS et l’INERIS ont réalisé, tout au long de l’année 2012, une série d’entretiens afin de regarder à la loupe les processus participatifs tels que vécus par les collectivités territoriales. Nous avons rencontré des acteurs de la prévention à Strasbourg, Le Havre, Lyon, etc. Voici les principaux enseignements de cette enquête Interprète.
Le ministère de la Justice répond à une question posée par Yves Blein, député du Rhône et président d’Amaris, sur la responsabilité qui incombe aux propriétaires d’un bâti situé dans un périmètre PPRT.
Ce document est une restitution synthétique des débats qui ont eu lieu le 5 juillet 2012 lors du colloque de La Rochelle organisée par l’association AMARIS et La Rochelle (Ville et Communauté d’agglomération).
A la fois exploitants de réseaux, maîtres d’ouvrage, coordonnateurs des travaux sur la voirie et responsables de la police de la sécurité : les collectivités sont particulièrement concernées par la nouvelle réglementation anti-endommagement des réseaux.
Le 22 juin, un déréglage sur une unité de désulfuration est à l’origine d’un envoi de soufre vers la torche, pendant une vingtaine de minutes, générant mauvaises odeurs et inquiétudes. Second problème de réglage… la raffinerie n’a prévenu la préfecture que très tardivement.







